Une américaine en Deux-Sèvres – Journée aux Archives (2/7)

Nous avons montré à Janell comment chercher des actes sur le site des AD 79 :

Nous avons commencé par l’acte de naissance de son ancêtre Baptiste Xavier, né le 8 décembre 1831 à La Chapelle Seguin (l’Absie) : Céline a eu la délicate mission de traduire l’acte en anglais pour Janell, qui enregistrait les informations sur son ordinateur. Janell a pu découvrir la signature de son ancêtre Pierre PRUNIER, père de Baptiste Xavier !

Nous avons poursuivi par un moment convivial au restaurant, entre filles :

L’après-midi, Stéphane nous a rejoints.

Stéphane est cousin de Janell : Radegonde RIPAULT, ancêtre de Janell est la fille de Louis RIPAULT (ca 1624-1696), laboureur, et de sa seconde épouse Marie CARRE, Stéphane descend  de Louis RIPAULT et de sa première femme, Marie CHAIGNE.

Nous avons recherché  l’acte de mariage de Félicité TETRON et Pierre PRUNIER en date du 11 novembre 1830, acte que Céline a traduit pour Janell :
 
Pas facile à expliquer en anglais le calendrier républicain. Chapeau Céline pour la traduction!

En parallèle, Françoise a cherché le testament et un inventaire (datés respectivement du 4 juillet 1854 et du 30 septembre 1681 chez le notaire DESAIVRE à Champdeniers) de Marie GARON, mère de Félicité TETRON, décédée le 22 septembre 1861 à Champdeniers ; j’avais découvert leur existence dans la déclaration de succession du 6 février 1862 à Champdeniers, trouvée juste la veille.

Nous avons trouvé ces deux documents plus un partage entre ses héritiers : nous avons alors découvert que Jeanne TETRON, une des sœurs de Félicité, et son mari Jean Hypolite Célestin CHEBRET demeuraient également à La Nouvelle Orléans en 1862 (comme sa sœur Félicité). Janell a cherché sur Familysearch et a  trouvé leur arrivée sur le bateau Mississipi en 1846.

Stéphane a trouvé également un autre acte : Pierre PRUNIER et sa femme Félicité TETRON ont affermé une maison  à l’Absie le 27 septembre 1842, juste avant de partir, (acte passé chez le notaire François Augustin TEXIER). A la lecture de tous les documents notariés trouvés, ils ne manquaient pas de moyens : la mère de Félicité TETRON, Marie GARON, avait six maisons qu’elle louait et avait fait dès 1854 un testament avec un partage équitable entre ses trois filles.

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