Les sorties en mars

Il y a 2 conférences à suivre et à ne pas manquer pour nos amis généalogistes de la moitié nord du département :

  • Août 1792, la première révolte le vendredi 17 mars à Moncoutant par notre administrateur Jean-Philippe POIGNANT

  • Destins de soldats deux-sévriens de Napoléon le samedi 18 mars à Bressuire par Laurent DELENNE des Archives départementales

  • Et le samedi 25 mars à partir de 9 h 30 se tiendra l’Assemblée générale du Cercle généalogique des Deux-Sèvres à Souvigné. Ce sera l’occasion de nous rencontrer, de faire le bilan de l’année écoulée et de découvrir nos projets 2023. Si vous voulez participer au repas poitevin qui suivra et à la visite du musée de la vie rurale et de la coiffe, il est encore temps de s’inscrire en nous renvoyant le coupon en lien.

Assemblée générale à Souvigné du 25 mars

Les adhérents et les amis du Cercle généalogique des Deux-Sèvres sont invités à assister à notre assemblée générale qui aura lieu à la salle des fêtes de Souvigné, entre Saint-Maixent-l’Ecole et La Mothe-Saint-Héray, le samedi 25 mars de 9 h 30 à midi. Les adhérents à jour de leur cotisation pourront ainsi prendre part à la vie de notre association en participant aux différents votes. Si par accident vous n’avez pas reçu le courrier de convocation à l’AG et ne pouvez être présent, vous trouverez en cliquant sur les liens le matériel de vote (Bon pour pouvoir). L’assemblée générale sera suivi du verre de l’amitié.

Ceux qui le désirent pourront prolonger la journée avec le repas poitevin (tarif 25 €) préparé et servi par les bénévoles de l’Association des Amis du patrimoine. Pensez à nous signaler avant le 10 mars si vous voulez être des nôtres pour ce repas en nous renvoyant le coupon d’inscription.

L’après-midi se poursuivra avec la visite du Musée de la vie rurale et de la coiffe (offerte par le Cercle généalogique des Deux-Sèvres).

Pour les plus courageux, la journée se terminera par une jolie promenade autour de cimetières protestants.

Souvigné et son musée de la vie rurale et de la coiffe (3/3)

Suite et fin du feuilleton de Marguerite Morisson sur le musée de Souvigné. (1re partie / 2e partie) Une visite s’impose !

Le musée a trente ans.

En trente ans, les équipes ont changé. Nous sommes passés de l’ère du « papier-crayon » à l’ère de l’informatique, qui permet aujourd’hui de faire ce qui était impensable dans les années 90.

Ce qui n’a pas changé par contre, c’est l’enthousiasme, accompagné d’un dévouement sans limite et d’un grand désir de perfection. On cherche non seulement l’origine des objets, mais aussi l’origine des donateurs, pour plus de vérité. La généalogie est devenue l’outil d’accompagnement.
Grâce à la famille Darmani, la maman et ses deux fils, le musée des débuts balbutiants est devenu un superbe musée, qui occupe aujourd’hui non seulement le Prieuré, mais aussi le Temple.

Le musée est entre bonnes mains; même passion , même amour du village, même dévouement, qui ont fait survivre de belle façon, les efforts des pionniers d’il y a trente ans.
Cet anniversaire a été dignement fêté le vendredi 1er juillet dernier, en présence de nos élus.

Venez visiter ce musée.

Amis généalogistes, qui chaque jour ou presque, aimez retrouver vos ancêtres et se pencher sur leurs coutumes, leurs travaux, qui les imaginez dans leurs vêtements, leur vie d’homme et de femme, leurs vie de parents, leurs joies et leurs misères, vous les retrouverez à Souvigné, criants de vérité.

Tout est soigné, documenté, expliqué ;
les vêtements sont authentiques
ou fidèlement reconstitués.

Du travail de pro !

Allez visiter ce musée,
vous ne le regretterez pas !

Souvigné et son musée de la vie rurale et de la coiffe (2/3)

Deuxième partie du texte de Marguerite Morisson débuté hier. Elle nous raconte tout ce qui s’est passé autour du musée (la fin demain).

On aurait pu croire que toutes ces activités pouvaient suffire à toute cette équipe hyperactive de Souvigné ! Et bien non !
Pourquoi ne pas ajouter à tout ce patrimoine, celui de la cuisine traditionnelle poitevine ? On va transmettre, faire des stages, réaliser des repas… c’était en 1994.
Ce qui fut dit fut fait ! A chacune sa spécialité . Et les stagiaires arrivent de tout le département. Il y eut jusqu’à 70 convives … un peu serrés dans le restaurant scolaire ! La municipalité bienveillante autorise l’utilisation du Foyer Rural et de ses aménagements ; C’est nettement mieux !

Françoise la présidente, que les hasards de la vie ont amenée à Souvigné, se passionne elle aussi, devient organisatrice de concerts, d’expos, cordon bleu, guide du musée ou accompagnatrice de randonnées, où elle découvre la topo- nymie extraordinaire des lieux.
Les hommes, infatigables, organisent des circuits, réparent les lavoirs, repeignent, nettoient, blanchissent les murs, transportent les « ponnes à bugheaille » et autres « encombrants », nettoient la cave voutée en évacuant 1 mètre de déblais avec des seaux et des baquets, par les escaliers ! Ils nettoient aussi les cimetières protestants se trouvant sur les circuits de randonnées.
Souvigné est à mes yeux un exemple, un concentré d’imagination, de dévouement, d’enthousiasme et de bénévolat !
Après la cuisine poitevine ses stages et ses repas, ce fut le vide grenier, auquel on ajouta le marché campagnard, puis la foire au farci en 1996, qui existe encore aujourd’hui.
En 2000, de nouveaux arrivants anglais eurent l’idée de préparer le repas de « Christmas » …plus de cent convives !

En 2002, pour la foire au farci, les dames revêtent à leur tour les vêtements et les coiffes qui les ont fait tant travailler… C’est le succès : 100 kg de farci, 20 kg de pâtés, et 70 pains de campagne cuits par le boulanger dans le four rénové, sont vendus !

Mais la « Cerise sur le gâteau » pour ne pas dire «Le Couronnement » fut bien sûr l’expédition mémorable au Plessis Robinson, pour « La Fête des Guinguettes ».
Logistique impressionnante, lavoir démontable, matériel de « bugheaille* avec ponne*, poéloune* et potin* », sac de cendres, brouettes, linge à lessiver. Gégé était devenu rémouleur et André Ricard « palissounait » paniers et corbeilles, pendant que les lavandières rinçaient, battaient, frottaient, tordaient le linge sorti de la ponne à bugheaille, où le linge se lavait à la cendre de bois blanc, arrosé d’eau chaude, puisée avec le potin dans la pouéloune. ( voir p. suivante) Un vrai spectacle pour les Parisiens stupéfaits !
Car il y avait aussi la machine à égrener les « moghettes », le maréchal-ferrant, une cane et ses canetons sur une mare improvisée et les boudins et les confitures et les tourtisseaux appréciés de Charles Pasqua, surtout bien arrosés d’hypocras !

Les participants ont dû s’amuser comme des fous, quel que soit leur âge. Tous en parlaient avec des sourires entendus. Ils ont bien fait d’en profiter. Les anecdotes ne manquaient pas, même les pannes de transport, dont ils riaient encore 10 ans après !

Il y a trente ans de tout cela ! Beaucoup ne sont plus là pour témoigner et ceux qui y sont encore seraient aujourd’hui incapables de réaliser de telles prouesses. Mais il y a les souvenirs et ils sont irremplaçables !
Rien de tel que ces moments de vie associative, d’échanges , de travaux réalisés collectivement pour son village.
Même si la vieillesse apporte son lot de misères physiques, tous ces souvenirs engrangés apportent aussi un esprit plus ouvert et une certaine sérénité.
Personnellement, mon séjour à Souvigné ne me laisse en mémoire que des sourires et de l’amitié pour toutes celles et ceux que j’y ai rencontrés, avec la satisfaction d’y avoir transmis ce qui m’avait été appris, par les lingères : Julie d’Eclopegenêt de Vitré, Anna  de Chaignepain et Marie du Busseau.

Pendant trois ans, je suis allée à Souvigné tous les mardis et c’est pour moi aujourd’hui un magnifique souvenir. Au bout de mon « contrat virtuel », toutes savaient refaire une coiffe et comme les idées ne manquaient pas et que l’enthousiasme du début était toujours intact, je me suis retirée, heureu- se de cette belle expérience, guidée par la générosité, l’amour d’un village et heureuse aussi des amitiés nouées.

Je tiens à saluer le travail accompli par Hélène et Marc Guiton, et Jacqueline et Henri Magnien qui furent en quelque sorte les « moteurs » de cette belle aventure. Hélas ! Ils ne sont plus là pour témoigner.


*Pour ceux qui ne connaissent pas le parlanghe :
– La bugheaille : lessive annuelle
– La ponne : grand récipient de pierre taillée, percé à la base, mais obstrué le temps du trem- page, où on entasse le linge avec la cendre de bois.
– La pouéloune : autre récipient en métal posé sur un feu pour y puiser l’eau chaude avec la- quelle on arrose le linge mis à tremper avec de la cendre de bois, blanc de préférence.
– Le potin : récipient de métal fixé au bout d’ un long manche pour aller puiser l’eau chaude dans la pouéloune et arroser le linge dans la ponne.

Souvigné et son musée de la vie rurale et de la coiffe (1/3)

Marguerite Morisson aime beaucoup le musée de la vie rurale et de la coiffe à Souvigné et elle pense, à juste titre, qu’il mériterait d’être mieux connu. . Aujourd’hui, Marguerite raconte l’histoire de ce musée telle qu’elle l’a vécue. (la suite demain)

Il était une fois… c’est ainsi que commencent toutes les belles histoires…

Donc, il était une fois Souvigné en pays « pèlebois », un petit village du Saint-Maixentais, où l’on passait sans s’arrêter, car à vrai dire il n’avait aucune réputation, ni bonne ni mauvaise d’ailleurs ! On apercevait bien, au loin, le clocher de son église jouxtant la haute toiture de son temple, mais les voitures filaient bon train sans jamais s’arrêter.
Ce que l’on ignorait, c’était l’enthousiasme et le foisonnement d’idées de ses habitants qui voulaient à tout prix faire vivre leur village, parce que tout simplement, ils l’aimaient.

Il y avait au cœur du village, un prieuré du XVe, propriété d’une famille qui souhaitait partir et le vendre… pour en faire un centre de loisirs, avait dit le propriétaire un peu visionnaire !

Marc Guiton, qui fit pour notre Cercle les relevés de Souvigné, était alors maire de son village. Passionné d’histoire, de traditions et de patrimoine, il suggéra de créer une association, indispensable point de départ de tout projet culturel. C’est ainsi qu’en août 1991 sont nés « Les amis du Patrimoine ».
Aussitôt dit, aussitôt fait. Ce serait le musée de la coiffe.
On battit le rappel pour récupérer coiffes, costumes et broderies qui affluèrent à pleins cartons et à pleins sacs.

Mais le patrimoine ce sont aussi les chemins creux, les fontaines, les lavoirs, les petits édifices en péril, les fours, le temple et les cimetières protestants, puisque nous sommes à Souvigné en plein pays huguenot.
On organisa des randonnées, des équipes défrichèrent, nettoyèrent, arrachèrent… Une vraie ruche, un même élan, un même enthousiasme jamais démenti.
Le seul problème, c’était le nerf de la guerre… pas riches les amis du patrimoine ! Il serait trop long de raconter ici toutes les péripéties liées à cette époque héroïque, mais tant de cœur et de dévouement devaient réussir.

Sur une idée d’une élue départementale venue visiter le musée, on fit appel à l’esprit mutualiste lié au département des Deux-Sèvres. Des directeurs de nos mutuelles, nés en Deux-Sèvres, originaires du Saint-Maixentais et d’origine protestante de surcroît, furent sollicités, mirent la main au porte-monnaie et c’est ainsi que les amis du patrimoine se retrouvèrent au Prieuré, dans leurs murs. Bien sûr, il fallut plus de temps à le réaliser qu’à le raconter, puisque ce n’est qu’en 1997 que toutes ces tractations prirent fin !

Mais revenons donc quelques années en arrière. Les coiffes et dentelles affluent, chez Hélène et Marc Guitton. Ils ne savent plus quoi en faire. Jean-Pierre Gaunord qui habite à Souvigné, est donc contacté pour leur venir en aide. Jean-Pierre, c’est le talentueux costumier des « Ballets Populaires Poitevins » créés par l’UPCP, mais c’est aussi le père fondateur du groupe enfantin « Les P’tits Châgnes » de renommée nationale et même internationale et c’est aussi le créateur du festival annuel des « RIFE » de Saint-Maixent, qui réunit chaque année des ballets traditionnels enfantins venus de toute la planète. Donc Jean-Pierre doit avoir une solution.

Depuis 1986, un atelier pour l’entretien des coiffes des « P’tits Châgnes » fonctionne à Saint-Maixent, dans une salle désaffectée de l’école Wilson. Les mamans des enfants ont été sollicitées et certaines ont pris goût à cette activité un peu spéciale, il faut le reconnaître !
En effet, 80 coiffes à entretenir, c’est un travail insurmontable pour une seule personne ! Une équipe est indispensable !
Lorsque les groupes traditionnels de l’UPCP ont été créés entre 1967 et 1972, les lingères professionnelles existaient encore, âgées certes, mais encore efficaces.
C’est ainsi que m’a été donnée l’occasion de les rencontrer et d’apprendre ce qu’elles ont bien voulu transmettre, chacune étant jalouse de son art et persuadée de notre incapacité.
À vrai dire, c’est d’abord l’histoire des coiffes, liée à l’histoire des femmes qui fut intéressante. À une époque où les femmes ne comptaient pas et ne s’exprimaient pas, leur coiffe était en quelque sorte leur carte d’identité.
La richesse et la longueur des rubans révélaient la situation financière du père, les broderies disaient si la fille était célibataire ou mariée et la position des tuyautés pouvait renseigner sur sa religion. Les coiffes de cérémonie étaient particulièrement « bavardes » sur le sujet.

Ensuite, quand on veut aller au bout de l’histoire, il faut se mettre les mains dans l ‘amidon et en apprendre le savant dosage si l’on veut arriver à un résultat.
Mais ceci est une autre histoire.

Un soir, lors de l’atelier hebdomadaire à Saint-Maixent, Jean-Pierre me demande si je consentirais à aller aider les dames de Souvigné « pour faire un musée de la coiffe ». C’était vague, mais original !
Au début de l’automne 1991, je suis donc arrivée à Souvigné où je ne connaissais personne, à part le maire rencontré une ou deux fois aux archives. Je ne savais pas trop ce que l’on attendait de moi.
Ce que j’ai trouvé en arrivant ce furent des sourires, un accueil plus que chaleureux, un enthousiasme extraordinaire… mais aussi des monceaux de « gueneuilles » comme disait Hélène, entassés sur une longue table : des bonnets, les moules en carton, des fils de fer, des dentelles, des guimpes, des caracos, des pantalons fendus et des cache-corsets… sur une hauteur de 80 cm au moins !
Mais autour de la table les visages souriants et confiants d’Hélène, de Jacqueline, de Janine, de Viviane, d’Henriette, de Fernande, tellement sympathiques et amicaux que j’ai dit oui , tout de suite !
Je venais de « signer » un « engagement » ! Et l’on se mit au travail tout de suite.

Premier travail : trier et éliminer ce qui était irrécupérable. On profita de ce tri pour apprendre les noms des différents morceaux composant une coiffe, les reconnaître et les rassembler et surtout garder précieusement les coiffes encore montées qui pourront servir de modèle. J’ai alors proposé de venir chaque semaine pour continuer le travail.
Mais la semaine suivante tout était trié, par pièce et par coiffe, ainsi que les bonnets, les guimpes, les fichus les foulards, les culottes fendues et les jupons etc.
Et cet enthousiasme ne s’est jamais démenti. Quel plaisir ! Chaque semaine, j’allais là-bas comme à la fête ! Chacune prépara son « métier » à tuyauter, et après un lavage délicat de ces fragiles reliques, les tuyautés faits avec aiguilles ou palènes sortirent blancs et fermes de toutes ces mains devenues expertes en quelques semaines.
Pour le montage, il a fallut un peu plus de temps, c’est la partie délicate, celle qui donne son élégance à la coiffe.

Un jour en fin de soirée :
– Allo ! Allo ! Ici c’est Viviane ! Ça va pas !
– Vous êtes malade ?
– Non, Non ! Moi ça va ! C’est ma Malvina qui va pas ! J’arrive pas à lui revirer ses tuyautés sur le devant ! J’vais pas dormir cette nuit ! Y’a l’expo dans deux jours !

Ce qu’il ne faut pas oublier, c’est que ce musée est né d’un enthousiasme partagé. Pendant que les dames se brulaient les doigts dans l’amidon, et repassaient leurs tuyautés, les messieurs collectaient les vieux outils, les vanneries traditionnelles, le matériel de « bugheaille » (lessive), les objets artisanaux et récuraient le Prieuré de la cave au grenier. Les bâtiments hors de service furent remis en état, et un peu plus tard, même la voûte du four fut entièrement refaite par les soins de Gégé, devenu l’homme indispensable.

1992 fut l’année où l’on décida de faire une première expo des premiers travaux. La trésorerie ne permettant pas trop d’excentricités, on fit avec les moyens du bord. On discuta beaucoup, mais le grand jour venu, les visiteurs ont pu admirer une belle collection de coiffes créchoises, de rubans, de dentelles diverses, de fichus et de foulards, ces derniers présentés sur les branches d’un arbrisseau mort. Aujourd’hui certains en sourient, mais c’était mieux qu’un fil avec des épingles à linge ! Ça ne coûtait rien et ça meublait un coin de cette grande salle. Pour occuper ces grands murs blancs, le mari de Janine avait installé une grande carte de France, sur laquelle étaient accrochées les poupées de M. Palissier qui, avant beaucoup, s’était intéressé au patrimoine et aux traditions de notre pays. Les visiteurs étrangers au département, appréciaient d’y retrouver les costumes de chez eux.

Et puis il y avait bien sûr les « Trois Grâces du Poitou », la Créchoise, la Mothaise et la Malvina, habillées dans des costumes de la Marchandelle d’Augé, reconstitués d’après des originaux, installées sur un plateau tournant, de façon à ce qu’on puisse en voir tous les détails. C’est ce tableau un peu défraîchi d’Escudier, qui nous avait inspirées.

Un sosa 2020 (qui est un un implexe)

Aujourd’hui, c’est Monique Feret qui nous transmet son sosa 2020. Voici le petit mot qu’elle nous a  joint : « Mon Sosa 2020 a ceci de particulier qu’il est l’ancêtre de ma grand-mère maternelle à 9 générations et de mon grand-père maternel à 11 générations. Merci pour le défi, il m’a bien fait chercher ! »

Effectivement, Pierre Decemme, le sosa 2020 de Monique est également son sosa 6984 (si j’ai bien compté en numérotant). Un joli cas d’implexe !

2020 et 6984 Pierre DECEMME   

né vers 1608, marié en 2e noce vers 1647 avec Judiq BONNAULT,
décédé à Prailles (Lussaudières)

3492 Abraham DECEMME

né en 1649 à La Mothe-Saint-Héray, marié avec Jeanne ALBERT

1010 Isaac DECEMME

né vers 1650, marié avec Jeanne GAUDIN, décédé en 1716 au Luc de Verrines-sous-Celles

1746 Abraham DECEMME

né vers 1669, marié en 1697 à Verrines-sous-Celles avec Françoise PAIRAULT

505 Jeanne DECEMME

née vers 1690, mariée en 1716 à Verrines-sous-Celles avec Pierre DESCHAMPS

873 Marie DECEMME

née vers 1698, mariée en 1724 à Sepvret avec Jacques POISSEAU, décédée en 1746

252 Pierre DESCHAMPS

né vers 1725, marié en 1751 à Celles-sur-Belle avec Louise DUBOIS, décédé à Vitré

436 Jacques FOISSEAU

né à Sepvret vers 1727, marié en 1751 avec Jeanne MARBOEUF

126 Pierre DESCHAMPS

né en 1756 , marié en 1789 en 2e noce avec Angélique MADIER, décédé en 1814 à Melle, la Roche de Saint-Thibaut

218 Jacques FOISSEAU

né en 1752 à l’Hermitain de Souvigné, marié en 1787 à Goux avec Marie ALBERT

63 Marie DESCHAMPS

née en 1799 à Vitré (la Carte), mariée en 1827 à Mougon avec Jean VIGNEAU, décédée en 1865 à Mougon

109 Marie FOISSEAU

née en 1788 à Goux (le Rivaud, mariée en 1811 à Souvigné avec François CHAUVET, décédée en 1857 à Prailles (Lussaudières)

31 Françoise VIGNEAU

née en 1830 à Mougon, mariée en 1854 à Mougon avec Daniel Louis BRIAULT, décédée à 37 ans à Mougon

54 Pierre CHAUVET

né en 1812 à Souvigné, La Fontauzelière, marié en 1836 avec Louise PAIRAULT

15 Victoire Suzanne BRIAULT

née en 1862 à Mougon, mariée en 1889 à Thorigné » avec Pierre BOUIN, décédée à 36 ans à Thorigné

27 Madeleine CHAUVET

née en 1840 à Prailles Lussaudières, mariée en 1862 à La Couarde avec Benjamin Constant MADIER, décédée à 43 ans à Vitré (Châteauneuf)

7 Mélanie Sidonie Clémence BOUIN

née en 1895 à Thorigné, mariée en 1921 à Thorigné avec Max GAUTIER, décédée en 1991 à Melle

13 Victoire MADIER

née en 1862 à Goux, mariée en 1885 à Thorigné avec Pierre GAUTIER, décédée à 85 ans à Thorigné (Escoulois)

 

6 Max GAUTIER

né en 1896 à Thorigné (Escoulois) marié en 1921 à Thorigné avec Mélanie BOUIN, dcd en 1976 à Melle

3 Suzanne Victoire GAUTIER

née en 1925 à Melle, mariée en 1950 à Melle avec Gaston POUILLIOU, 95 ans aujourd’hui

1 Monique POUILLIOU, épouse FERET, adhérente 2388

Qui sera la huitième personne à nous dévoiler son sosa 2020 ?

Le musée de la coiffe de Souvigné à TF1

souvignéMerci à Nat (du blog Parentajhe à moé) sans qui je n’aurais jamais su que TF1 avait consacré un reportage dans son journal de 13 heures au musée de la coiffe de Souvigné (je ne sais pas trop ce qui passe à la télé). En l’occurrence, j’ai tort car c’est plutôt bien fait, intéressant et on y découvre des bénévoles passionnés et habiles. Pour voir ce petit film, il suffit de cliquer sur le lien Dans le Poitou, un musée fait honneur aux coiffes d’antan. Vous aurez sans doute envie ensuite d’aller visiter ce musée qui s’intéresse comme nous, mais d’une autre façon, à la vie de nos ancêtres. En voici les coordonnées :

Musée de la vie rurale et de la coiffe
1 place du prieuré
79800 SOUVIGNÉ

Le musée est ouvert au public de 14h30 à 18h30
– du 1er mai au 30 juin : les dimanches.
– du 1er juillet au 30 septembre : samedis, dimanches et jours fériés.

Et pour découvrir leur site, il faut cliquer ici.